Les nuits se succédaient dans la vallée andalouse, calmes en apparence mais chargées d’une tension artérielle silencieuse. Ana poursuivait ses temps, habitée par une diversité d’émerveillement et de culpabilité. Chaque soir, dans le jardin parfumé par le jasmin, elle libérait délicatement ses papillons nocturnes, suivant soigneusement leurs vols fringant mais https://zanegqwcf.fireblogz.com/65622688/les-ailes-du-calme