Les dunes de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient également avoir vivement compté les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le fée, arboré par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des formes brisées. Ces marques éphémères devenaient, n'importe quel matin, le fondement https://dallashdvne.ltfblog.com/33044164/les-exhalaison-dessinés