Dans les ruelles d’Istanbul, au cœur du bazar animé, un marchand du prénom d’Orhan découvrit un modèle unique parmi ses sublimes acquisitions. Il s’agissait d’un coffret en dessein, obscur et délicatement formé, orné de symboles indéchiffrables qui semblaient danser marqué par la luminosité des lampes à huile. Aucun souvenir de https://edgarndqak.activoblog.com/36672100/l-éclipse-des-chroniques