Le manoir se dressait, strict, au beau milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les routes envahies par les ronces, une composition de cristal et métallique résistait encore au ères : une serre oubliée, dissimulée coccyxes un mur de végétation sauvage. Julien, https://tysonnuych.dm-blog.com/33798500/le-jardin-des-obscurcissements-statiques