La nuit s’abattit sur l’île, enveloppant le panorama d’une obscurité dense, seulement brisée par les éclairs qui zébraient le ciel. Frédéric s’était posté bouille à la lanterne, creusant le moindre frémissement de vie. Le vent soufflait violemment, arrachant des volutes de entendement et de brume qui se mêlaient à la https://lorenzouejnp.thenerdsblog.com/39518056/l-île-au-vent-et-à-l-oubli